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Le Grand 8, Du lundi au vendredi de 7h59 à 8h30 | Une émission de la Radio Suisse RomandeLe Grand 8, du lundi au vendredi de 7h59 à 8h30. Une émission de Joël Marchetti, Nicolae Schiau et Karin Suini (émission du 16.10.09). Le Grand 8, c’est de l’info sur un autre ton: des invités, des chroniqueurs, un tour de table pour commenter l’actualité, la comprendre et lui trouver des solutions. Une demi-heure de journal intégré pour échanger des idées, débattre de l’actu, des nouvelles modes, des tendances qui traversent notre société.

Les transports publics développent-ils la criminalité?
Les villes romandes sont en train de développer et de repenser leurs transports publics. A Lausanne, il est question de créer un M3, alors qu’à Genève, le CEVA fait débat. En favorisant la circulation, les transports publics peuvent-ils diffuser de la criminalité?

La Suisse est enfin en train de se donner les moyens d’entrer de plain-pied dans la société de l’information
Au-delà des aspects techniques, la constitution d’un réseau de fibres optique est un virage dans la construction de la Suisse. Les investissements sont lourds, les instances politiques sont concernées à tous les niveaux. Le projet, c’est une Suisse de la communication, axée sur le transfert de l’information.

Les caméras de surveillance sont en train d’entrer dans les mœurs

La ville Zurich a adopté un règlement pour réguler la vidéosurveillance dans les écoles. Un projet de loi à Genève prévoit une planification globale des caméras de surveillance. Après une planification au cas par cas, avec autant de polémiques, la politique est donc aujourd’hui concertée, sereine… et elle avance!

Invités:

  • Luca Pattaroni, docteur en sociologie urbaine à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL)
  • Jacques Barillon, avocat
  • Stéphane Koch, membre de l’Internet Society
  • Olivier Jornot, avocat, député libéral au Grand Conseil genevois

Le Grand 8, Du lundi au vendredi de 7h59 à 8h30 | Une émission de la Radio Suisse RomandeLe Grand 8, du lundi au vendredi de 7h59 à 8h30. Une émission de Joël Marchetti, Nicolae Schiau et Karin Suini (émission du 26.08.09). Le Grand 8, c’est de l’info sur un autre ton: des invités, des chroniqueurs, un tour de table pour commenter l’actualité, la comprendre et lui trouver des solutions. Une demi-heure de journal intégré pour échanger des idées, débattre de l’actu, des nouvelles modes, des tendances qui traversent notre société.

Les leçons de l’affaire Kadhafi sur le rôle de président en Suisse
Que l’on soit d’accord ou pas avec l’action de l’actuel président de la Confédération Hans-Rudolf Merz en Libye, l’événement vient de prouver bien malgré lui la nécessité et l’utilité qu’il y a de renforcer le rôle de chef d’État en Suisse. Ne devrait-on pas lier la fonction présidentielle et le département fédéral des Affaires étrangères (DFAE)? Quelles leçons devrait-on tirer de l’affaire Kadhafi ?

Google Street View: comment les nouvelles technologies remettent en question la politique
Le vivre ensemble, c’est bien ce qui est questionné par Google Street View, ce fameux site qui vous permet de vous promener comme si vous y étiez dans certaines rues de Suisse entre autres. La société Internet américaine Google a annoncé s’engager à collaborer avec le préposé à la protection des données. Entre MySpace, Facebook ou Google Street View, quel est l’impact des technologies sur la conception de l’État ?

Michael Jackson, un mort toujours pas enterré!
Le 25 juin 2009, le roi de la pop Michael Jackson décédait des suites d’une surdose de Propofol, un puissant anesthésique. Deux mois plus tard, son corps n’a toujours pas été enterré, car la star a été l’objet de multiples examens médico-légaux. À partir du cas Michael Jackson, le Grand 8 en profite pour s’interroger ce mercredi sur cette désacralisation du corps et de la mort.

Invités

  • François Chérix, député socialiste au Grand Conseil vaudois, politologue et secrétaire général du Centre pour la réforme des institutions suisses (CRIS)
  • Olivier Jornot, avocat et député libéral au Grand Conseil genevois
  • Stéphane Koch, spécialiste d’Internet et des nouvelles technologies
  • Dominique Roulin, ancienne pasteure au bénéfice d’un Master européen en thanatologie, et actuelle directrice de la Halte-Femmes d’Emmaüs-Genève

Le Grand 8, Du lundi au vendredi de 7h59 à 8h30 | Une émission de la Radio Suisse RomandeLe Grand 8, du lundi au vendredi de 7h59 à 8h30. Une émission de Joël Marchetti, Nicolae Schiau et Karin Suini (émission du 02.07.09). Le Grand 8, c’est de l’info sur un autre ton: des invités, des chroniqueurs, un tour de table pour commenter l’actualité, la comprendre et lui trouver des solutions. Une demi-heure de journal intégré pour échanger des idées, débattre de l’actu, des nouvelles modes, des tendances qui traversent notre société.

Le Montreux Jazz Festival débute ce vendredi
Le Montreux Jazz Festival est un des grands événements fédérateurs de la Suisse Romande, mais aussi un des rendez-vous qui permet à la Suisse d’être reconnue à l’étranger. Mais au-delà de ces aspects prestigieux, c’est un événement musical de qualité, mais de plus en plus distant du jazz.

Demain, des étiquettes-carbone sur tous les produits ?
L’Office Fédéral de l’environnement organise un séminaire sur l’étiquette environnementale. Il s’agit d’une étiquette pour les voitures, qui contiendra des données sur la charge environnementale d’un véhicule neuf, calculée au moyen d’un écobilan. Pour tenir compte, dans l’économie, de l’empreinte écologique des produits, l’étiquette-carbone, éventuellement taxée, peut se présenter comme une solution.

Le Walkman a 30 ans
En 30 ans, la "portabilité" de la musique a carrément révolutionné notre façon de consommer la musique. A tel point qu’aujourd’hui, la Suisa envisage de taxer les téléphones portables, que vous écoutiez ou non de la musique dessus. Au-delà de cette quête de nouveau modèle, les taxes deviennent monnaie courante pour tenter de maîtriser les nouvelles habitudes de consommation et de communication.

Le "NPN", nouveau livre de l’été
Le NPN est le "Nouveau Polar Nihiliste", que voit apparaître le magasine "Lire". Il s’agit de polars "asociaux", peintures désenchantées du monde.

Avec

  • Claude Nobs, fondateur et directeur du Montreux Jazz Festival,
  • Dominique Bourg, philosophe, professeur à l’Institut des politiques territoriales et d’environnement humain à l’Université de Lausanne,
  • Stéphane Koch, président de l’Internet Society Geneva,
  • Pascal Vandenberghe, directeur général de Payot Lausanne


Après la guerre froide, on aurait pu croire l’espionnage en perte de vitesse : il n’en est rien.
Pire: l’espionnage ne s’est jamais aussi bien porté. Il est même omniprésent. Les barbouzes sont partout : au niveau politique, bien entendu, avec la lutte anti-terrorisme, mais aussi sous les formes les plus inédites… à 20’000 lieues sous les mers. Quatre câbles sous-marins sectionnés en une semaine. L’acte volontaire est immédiatement évoqué. L’espionnage en serait une piste.

Mais l’espionnage industriel est certainement celui qui fait le plus parler de lui. Dans l’automobile ou dans le sport automobile (on l’a vu en Formule1). Mais aussi l’armement, l’industrie, le cinéma ou la pharma. Quatre personnes sont soupçonnées en Suisse d’avoir volé des secrets de fabrication à EMS Chemie. Et ce ne serait pas le seul cas… Aurions-nous sous-estimé la vigueur et le boom de l’espionnage ?

En fait, l’espionnage a pris un essor insoupçonné avec le développement des technologies de l’information. Tout le monde aujourd’hui peut tout savoir sur tout le monde. On peut même se procurer sur internet le kit du parfait espion…

Mais peut-on encore parler d’espionnage à l’heure des réseaux, de la wiki-culture, à l’heure où tout le monde partage ses informations ? Où s’arrête l’intelligence économique et la collaboration ?

Combien de temps les Américains vont-ils encore élire seuls le « Roi » du Monde ?
Faire élire le président des Etats-Unis par le reste du monde ? Lancée sous forme de boutade hier par Stéphane Garelli, l’idée n’est pas absurde. Le président des Etats-Unis a plus d’influence et de pouvoir en matière de politique extérieure qu’intérieure.

On peut s’interroger: est-il sensé que la désignation de l’homme qui a le plus d’influence sur le reste du monde, se fasse… sans consulter le reste du monde ?

En fait, la proposition apparemment loufoque, pose un débat de fond: où est le reste du monde ? Où est l’Europe ? La solution passe, pour être réaliste, par une Europe plus forte. Avec Tony Blair ? Quant à l’ONU, on en parle pas…

Grand 8, page de l’émission: [lien]


Déstabilisée, notre planète. A la veille de l’ouverture du World Economic Forum à Davos, le monde voit se former de nouveaux équilibres politico-économiques.
En peu de temps, l’économie américaine a été sérieusement secouée par la crise du crédit. Et la récession ne semble plus faire de doute, alors même que la puissance américaine est enlisée au Proche-Orient et qu’elle entre dans de longs mois de campagne présidentielle, donc de léthargie… Pendant ce temps, les économies émergentes asiatiques prennent le leadership de la croissance mondiale, fortes d’une croissance soutenue et d’une hausse du prix des matières premières. Et elles ne s’en contentent pas: voilà que leurs fonds d’Etat partent à la conquête des fleurons de l’industrie et de la finance occidentale, signifiant ainsi le grand retour de l’Etat et de la géopolitique dans le fonctionnement de l’économie de marché…

Inquiétant, dit-on. Déstabilisant, en tout cas. Car une chose est certaine, le rapport de force change. L’Asie monte en puissance, l’Amérique décline. Et la politique revient en force dans les affaires économiques… tandis que l’Europe cherche sa place dans ce bras de fer planétaire.

A la veille de la 38ème édition du WEF, comment se dessinent les nouveaux équilibres – ou déséquilibres planétaires ? Avec de nombreuses inconnues et beaucoup de questions : comment allier stabilité, équilibre et croissance ? Et quelle place la Suisse et l’Europe peuvent-elle prendre dans ce nouvel équilibre ?

Grand 8, page de l’émission: [lien]

La répartition des départements au sein du nouveau Conseil fédéral repose aujourd’hui la question du pouvoir réel des conseillers fédéraux.
Les conseillers et fédéraux passent. Parce qu’ils ou elles partent en retraite. Ou parce que le Parlement ne les réélit pas. L’administration, par contre, reste. Contrairement à d’autres pratiques, comme c’est le cas en France ou aux Etats-Unis, les conseillers fédéraux ont une marge de manœuvre relativement modeste pour placer leur équipe aux postes clés. L’administration hyperpuissante, mythe ou réalité ? Les conseillers fédéraux ont-ils assez de pouvoir pour mener à bien leur politique ?

A quand un renouveau des partis en Suisse? Depuis le 12 décembre, plus rien n’est véritablement comme avant. Le choc engendré par la non-réélection de Christophe Blocher a secoué le monde politique suisse. On parle de scission au sein de l’UDC. On évoque à nouveau un rapprochement entre le PDC et les radicaux. Une sorte d’UMP à la sauce helvétique, qui ferait face à un grand parti de gauche réunissant les Verts et les socialistes. Quelle révolution dans un pays qui n’a pas connu de véritable modification de son paysage politique suisse depuis… au moins 20 ans !

Grand 8, page de l’émission: [lien]


Les femmes assurent. Longtemps discrètes, travailleuses de l’ombre, la nouvelle génération de politiciennes assument leur pouvoir.
Elles n’hésitent plus à sortir du bois et à dire haut et fort ce qu’elles veulent. Isabelle Moret pour briguer la vice-présidence du parti radical, Géraldine Savary pour dessiner l’avenir du parti socialiste suisse. Leur discours est clair, déterminé et volontaire. Les politiciennes suisses sont en voie de "décomplexion"… et c’est tant mieux.

Peut-on vivre sans internet ?
En Suisse, plus de deux tiers des plus de 50 ans n’utilisent jamais internet. Parmi les plus connus, Pascal Couchepin, Christoph Blocher ou encore le directeur de l’Ecal, Pierre Keller.

Visiblement, pour eux en tout cas, la non-utilisation du net ne semble pas prétériter leur carrière. De là, à conclure qu’internet n’est pas un outil indispensable à notre démocratie, il n’y a qu’un pas, qu’on franchira ou pas dans ce Grand 8.

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Les politiques aiment les médias, mais ils n’aiment pas que les médias leur échappent.
Dernier événement en date: Nicolas Sarkozy a quitté un entretien avec CBS. L’émission 60 minutes s’est résumée à 60 secondes… Agacé par le sujet abordé (une certaine Cécilia), le Président français s’est levé et il a lancé "quel imbécile" à propos de son attaché de presse, et il a quitté le plateau en tournant le dos à la journaliste Lesley Stahl sur un "Allez, au revoir" pour le moins sec. Une illustration de plus de la relation particulièrement complexe qu’entretiennent politiques et médias.

Que les politiques se fâchent dans le débat, c’est une chose, qu’ils cessent de répondre à l’entretien et attaquent les médias dans leur fonctionnement éditorial, c’en est une autre.

En Suisse aussi
En Suisse, ça ne vous aura pas échappé, le rôle des médias dans la campagne est au premier plan. Pour la classe politique dans son ensemble, les médias parlent trop de l’UDC.

Que ce soit pour la critiquer, pour se faire l’écho de ses prises de positions ou pour relayer les critiques du front anti-UDC. Mais est-ce que c’est le problème des politiques ou le problème des médias ? Les politiques n’aiment pas qu’on aborde les questions qui les dérangent, mais ils veulent qu’on aborde des questions tout de même. En fait, qu’attendent-ils des médias ? C’est une question cruciale en pleine campagne pour le Conseil fédéral.

Mais quel est le rôle des médias dans le débat citoyen ?
Cela dit, les citoyens ont-ils encore besoin des médias ? Les contacts directs se multiplient. Plus que jamais, vous pouvez interpeller vos représentants et obtenir une réponse.

En clair, les médias sont utiles aux candidats pour faire passer un message, mais les citoyens n’ont plus besoin des médias pour se faire une opinion, voire même pour débattre avec les candidats.

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« Les Etats-Unis sont dans l’impasse en Irak, mais s’ils quittent le pays, la situation va empirer ». Ce constat, pour le moins inquiétant, est très largement partagé.
Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne doivent rester en Irak pour éviter un bain de sang, mais cela ne fait pas un projet d’avenir pour un pays.

Donc toute la question aujourd’hui n’est plus: « Faut-il partir ? », mais plutôt: « Comment rester ? ». Comment assurer la paix et le développement du pays ?

Pour peu que le pays ait encore un avenir : après l’éclatement de la coalition chiite au pouvoir, l’existence même de l’Irak paraît compromise.

Mieux lutter contre la criminalité avec une seule justice européenne
7 ministres de la justice lancent un appel pour créer un vrai espace judiciaire européen. Le but : gagner en efficacité, travailler main dans la main pour prévenir ou retrouver les auteurs d’actes criminels, des actes qui ne se limitent quasiment jamais à un seul territoire, qu’il s’agisse actes terroristes ou d’enlèvements d’enfants, en Suisse, au Portugal en Espagne ou en France.

Plusieurs Etats membres de l’Union estiment donc qu’ils pourraient gagner en efficacité avec une seule justice, si tous les pays européens avaient les mêmes instruments et les mêmes règles. Ce qui semble tomber sous le sens, mais la théorie se heurte fortement aux résistances nationales.

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Le site internet communautaire Facebook veut rivaliser avec Myspace.

Facebook, qui réservait jusqu’ici aux seuls membres inscrits l’accès aux contenus mis en ligne, vient d’annoncer qu’il laisserait désormais à ses utilisateurs le choix de se faire connaître de tous les internautes qui effectuent une recherche sur ses pages.

Le groupe compte actuellement 39 millions de membres, contre 24 millions en mai dernier. Le site envisage également de permettre à Google, Yahoo et d’autres moteurs de recherche d’accéder à des informations succinctes sur ses membres. Bref le réseau s’élargit encore et les sites spécialisés dans cette mise en réseau se multiplient.

Ces plate-formes permettent donc aux internautes de se faire connaître et d’entrer en relation. Le Web fait passer les clubs et autres associations de quartier à l’âge de la pierre du « réseautage » des relations et autres contacts.

Le Grand 8 s’interroge avec ses invités sur l’efficacité des ces réseaux. Celui qui n’est pas sur ce type de réseau se coupe-t-il d’une certaine réalité sociale, économique, voire culturelle ?

Les livres de politiciens se multiplient ainsi que les ouvrages traitant de politique
Dernier en date, celui du député radical vaudois Olivier Feller qui vient de sortir aux éditions de l’Aire. Il y a aussi l’ouvrage de Stéphane Rossini, conseiller national socialiste valaisan. Récemment c’est Fulvio Pelli, le président du parti radical qui présentait un ouvrage comme directeur de publication.

On peut citer aussi l’ouvrage des socialistes fribourgeois Alain Berset et Christian Levrat. Il y a aussi les ouvrages et les essais sur l’UDC ou Christophe Blocher. Reste que le livre le mieux vendu en Suisse en ce moment est celui de Yasmina Reza "L’aube, le soir ou la nuit". Est-ce là une question d’envergure des personnages ?

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En Suisse romande par exemple, Ueli Maurer est plus connu qu’Yvan Perrin. D’autre part, un Suisse sur deux ne sait pas qui sont les présidents de partis.

Politiques coachés
La popularité des politiques dépend peut-être aussi des professionnels de la communication. Les conseillers en communication, les conseillers personnels, les coachs sont toujours plus présents auprès des politiques. Ces conseillers leur apprennent à gérer leur image, à maîtriser les interviews dans les médias, à parler en public, mais aussi, pour les partis, à mener une campagne. Reste à savoir si l’on peut encore mener une carrière politique ou être élu sans conseiller en communication ?

La surinformation parasite les entreprises et les employés
Les employés et les entreprises reçoivent nombre d’informations qui arrivent par les courriels ou par les téléphones portables. Selon la Haute école de gestion de Genève, qui a réalisé une enquête sur le sujet, une personne sur quatre, en entreprise, se sent oppressée par cette surinformation – c’est-à-dire une masse d’informations inutiles ou ne concernant pas forcément ceux qui les reçoivent. Or cette situation risque de s’aggraver si rien n’est fait. Le défi consiste à trouver des solutions pour gérer cette surinformation dans les entreprises.

Les invités: -Stephane Koch, président de l’Internet society Genève -Francine Crettaz, conseillère en communication institutionnelle -Robert Ducret, ancien conseiller d’Etat radical genevois -Jean Tuberosa, professeur à la Haute école de gestion de Genève -Olivier Feller, député radical vaudois et candidat au Conseil national

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