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Le Grand 8, Du lundi au vendredi de 7h59 à 8h30 | Une émission de la Radio Suisse RomandeLe Grand 8, du lundi au vendredi de 7h59 à 8h30. Une émission de Joël Marchetti, Nicolae Schiau et Karin Suini (émission du 02.07.09). Le Grand 8, c’est de l’info sur un autre ton: des invités, des chroniqueurs, un tour de table pour commenter l’actualité, la comprendre et lui trouver des solutions. Une demi-heure de journal intégré pour échanger des idées, débattre de l’actu, des nouvelles modes, des tendances qui traversent notre société.

Le Montreux Jazz Festival débute ce vendredi
Le Montreux Jazz Festival est un des grands événements fédérateurs de la Suisse Romande, mais aussi un des rendez-vous qui permet à la Suisse d’être reconnue à l’étranger. Mais au-delà de ces aspects prestigieux, c’est un événement musical de qualité, mais de plus en plus distant du jazz.

Demain, des étiquettes-carbone sur tous les produits ?
L’Office Fédéral de l’environnement organise un séminaire sur l’étiquette environnementale. Il s’agit d’une étiquette pour les voitures, qui contiendra des données sur la charge environnementale d’un véhicule neuf, calculée au moyen d’un écobilan. Pour tenir compte, dans l’économie, de l’empreinte écologique des produits, l’étiquette-carbone, éventuellement taxée, peut se présenter comme une solution.

Le Walkman a 30 ans
En 30 ans, la "portabilité" de la musique a carrément révolutionné notre façon de consommer la musique. A tel point qu’aujourd’hui, la Suisa envisage de taxer les téléphones portables, que vous écoutiez ou non de la musique dessus. Au-delà de cette quête de nouveau modèle, les taxes deviennent monnaie courante pour tenter de maîtriser les nouvelles habitudes de consommation et de communication.

Le "NPN", nouveau livre de l’été
Le NPN est le "Nouveau Polar Nihiliste", que voit apparaître le magasine "Lire". Il s’agit de polars "asociaux", peintures désenchantées du monde.

Avec

  • Claude Nobs, fondateur et directeur du Montreux Jazz Festival,
  • Dominique Bourg, philosophe, professeur à l’Institut des politiques territoriales et d’environnement humain à l’Université de Lausanne,
  • Stéphane Koch, président de l’Internet Society Geneva,
  • Pascal Vandenberghe, directeur général de Payot Lausanne

Radio CitéDossier à la Une : téléchargement illégal sur le net – Jérémie Zimermann, "collectif quadrature", Paris, Stéphane Koch, spécialiste des technologies de l'information, Me Sébastien Fanti, avocat spécialisé en nouvelle technologie, Claudia Kempf, de SUISA – JDM du 8.04.09

RSR, Les Chroniqueurs, La 1èreSelon Goethe, les mathématiques ne peuvent effacer aucun préjugé. Néanmoins, vous allez constater qu’ils sont à même de révéler des vérités cachées…

Alors à vos vos calculettes ! nous allons estimer le coût réel de l’envoi d’un SMS

Un SMS est limité à 160 caractères écrit et est facturé 20 centimes chez mon opérateur. Les 160 caractères du SMS, représente 140 octets de données. Donc, au tarif SMS, on paye 20 centimes pour envoyer 140 octets.

Pour vous donner une idée, sur cette même base tarifaire, ça reviendrait a faire payer 1500 francs pour envoyer le contenu d’une disquette, et près de 6000 francs pour télécharger une chanson sur son mobile.

Maintenant prenons les abonnements nouvelles générations de mon opérateur chéri: pour un abonnement Picolo à 25 francs par mois avec un forfait internet de 100 méga de données, pour l’envoi de 140 octets, on paye 3.4 centimes, et 1 franc pour le téléchargement de ma chanson. Alors que pour un abonnement Grande à 55 francs par mois, avec un forfait internet de 1000 méga, le coût du SMS tombe à moins d’un centime et le téléchargement de mon morceau de musique à 22 centimes…

Ce qu’il faut retenir, c’est qu’à 20 centimes par SMS, l’opérateur facture sa prestation au client, à un coût jusqu’à 26 fois plus élevé que le coût réel lié à l’abonnement…

Le paradoxe ne s’arrête pas là: pour un abonnement Grande les appels sont facturés 50 centimes l’heure sur le réseau de l’opérateur, et selon le blog Scal.ch, la durée moyenne d’un appel est de deux minutes, cela fera donc des communications à 1 francs l’appel – y compris quand vous appelez votre messagerie vocale… Donc force est de constater que trois SMS coûtent plus cher qu’un appel d’une heure sur le réseau de l’opérateur… Alors à ce prix là, n’hésitez plus à l’appeler

Liens en rapports avec le sujet:

 

RSR, Les Chroniqueurs, La 1èreSelon le matin dimanche, l’industrie du divertissement a encore durci le ton à l’égard des adeptes du téléchargement illégal… Et c’est à nouveau la société Logistep qui occupe le devant de la scène, société qui avait été dénoncé par Me Fanti, pour ses méthodes de « traquage » des téléchargements illégaux… Méthodes elles-mêmes considérées comme illégales en suisse…

En résumé, les méchants, ce sont toujours ceux qui téléchargent… Pourquoi est-ce que les médias n’enquêtent pas plus sur les pratiques commerciales de l’industrie du divertissement.

Prenons le cas du mp3: quand vous achetez une chanson sur Internet vous payez aussi pour la connexion ADSL, le temps passé à chercher, télécharger et stocker un fichier au format numérique… Bref, de belles économies pour l’industrie, mais pas plus d’argent pour les artistes. Et que penser des droits d’auteurs payé une seconde fois pour des disques que l’on possède déjà sur supports vinyles… Est-il normal de faire payer deux fois des droits simplement parce que le support est différent… ???

Le problème est identique avec les films… Imaginez… Vous risquez de payer trois fois des droits pour la même oeuvre : une fois pour la cassette VHS, la deuxième pour le DVD, et la troisième pour le Bue ray…

Mais le pire est à venir…  Prenons le site de vidéo à la demande que vante M6 dans ces publicités ciblées sur la suisse… On vous y accueille avec le message suivant : "Bienvenue sur M6 Replay, le site de télévision dernière génération de la chaîne M6. Nous ne pouvons malheureusement accéder à votre requête, car ce site est réservé aux résidents de France Métropolitaine." …Pas de problème par contre pour se faire du fric sur le dos des téléspectateurs suisses, en les arrosant copieusement de pub…

Vous l’aurez compris, dernière génération ne veut pas dire orienté client…  En fait la force de l’industrie du divertissement, c’est d’avoir réussi à glisser un trait d’unions dans le mot consommateur.. Juste après la troisième lettre…

Lien avec l’article du Matin Dimanche: